Le coton bio équitable … idéal pour la peau de bébé !

• Qui est le chat ?

La Queue du Chat, créée en 2005 par Anne-Charlotte et Hélène, est une marque française basée à Bordeaux.
 

Elle commercialise des vêtements en coton bio et équitable pour enfants et bébés.

• 1^ère usine textile certifiée commerce équitable en Inde

Tous les articles sont produits chez un fournisseur unique situé sur la côte du Gujarat en Inde, reconnu pour son sérieux et son savoir-faire.

L'usine travaille dans le respect des droits fondamentaux des personnes, en offrant des salaires justes, l’égalité entre femmes et hommes ainsi qu’une couverture sociale et des avantages qui vont au-delà des exigences légales. C’est la première usine textile certifiée Fairtrade Textile Standard en Inde et la première à avoir mensualisé les ouvriers !

L’engagement se poursuit en France : Pour gérer le stock et les envois, elles travaillent avec un ÉSAT (Établissement et Service d’Aide par le Travail) qui permet l'insertion sociale et professionnelle de travailleurs ayant un handicap.

• Une fabrication 100 % coton bio

Toute la chaîne de production est certifiée GOTS (Global Organic Textile Standard), la certification de référence mondiale qui garantit le caractère biologique des textiles, depuis la récolte des matières premières, en passant par la fabrication responsable d'un point de vue social et environnemental, jusqu'aux étiquettes. Les produits sont sains, sans produits chimiques ou résidus toxiques.

Parce qu’un vêtement en coton non-bio peut conserver des résidus chimiques même après de nombreux lavages, le coton bio est nécessaire au contact de la peau des enfants.

Le coton bio :

- ne contient pas de substances pouvant être  cancérigènes, toxiques ou  allergique, substances qui sont susceptibles d'être absorbées par la peau ou d'être inhalées

​​​​​​​- améliore la qualité de l’eau, du sol et de la terre. C’est 91 % d’utilisation d’eau en moins employée, 62 % d’économie d’énergie et pas d’utilisation de produits chimiques toxiques

- protège les agriculteurs des dangers des produits chimiques toxiques et de l’endettement lié au financement des pesticides.